Tourné vers l’ouverture, et pas n’importe laquelle, c’est en effet par la destruction fictive et partielle des toitures que la lumière du jour pénètre directement en ces lieux, les illuminant de clarté. Plus rien ne retient alors la nuit qui, bannie des intérieurs, s’efface d’elle-même. L’obscurité de ces temples-prisons s’estompe et laisse pénétrer la quiétude d’un ciel bleuté.